Icône de Sainte Thérèse de Lisieux enfant

Description Icône de Sainte Thérèse de Lisieux enfant

Pour réaliser cette icône de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus l'artiste, Mme Joelle Dalle, s'est manifestement inspirée de la photo de sainte Thérèse à 8 ans. Au lieu d'inscrire le nom de la sainte sur l'icône, comme cela se fait selon l'art iconographique oriental, l'artiste a inscrit une phrase de la sainte Carmélite de Lisieux avec une légère variante : "Mon ciel, je le passerai à faire du bien sur la terre". Le 13 juillet 1897 vers 2 heures du matin Sainte Thérèse a prononcé cette phrase "Je veux passer mon ciel à faire du bien sur la terre". Sa prophétie s'est réalisée après sa mort d'une manière qu'on ne pouvait pas imaginer. Pour raconter les faveurs de toute sorte obtenues par l'intercession de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, faveurs qui ont été parfois accompagnées d'apparitions de la « petite soeur » en bure brune, on a publié sept volumes, intitulés « Pluies de roses ». Edités de 1907 à 1925, ils représentent un total de plus de trois mile pages, écrites en petits caractères.
Quelques-uns de ces miracles se sont produits sur la tombe même de Sainte Thérèse, telle la guérison instantanée, le 26 mai 1908, d'une petite fille âgée de quatre ans, que sa mère avait emmenée la veille au cimetière de Lisieux où reposait le corps de la sainte Carmélite. Le miracle fit grosse impression parmi les Lexoviens et facilita grandement le lancement de la cause de canonisation de Soeur Thérèse de l'Enfant-Jésus.
L'artiste a semé de roses le fond de l'icône. Ces fleurs font échos à la parole de sainte Thérèse : « Moi aussi, après ma mort, je ferai pleuvoir des roses. » C'est en se souvenant de cette parole, que soeur Marie du Sacré-Coeur eu l'idée du titre « pluie de roses » pour les sept volumes consacrés aux grâces obtenues par l'intercession de la sainte de Lisieux.
Cette phrase de sainte Thérèse fait allusion à une lecture entendue au réfectoire dont le sujet était la vie de saint Louis de Gonzague. L'auteur mettait en valeur la fécondité de la vie posthume de ce jésuite mort à vingt-trois ans. On venait de lire l'histoire d'un chanoine allemand qui, ayant demandé à saint Louis de Gonzague de le sauver, avait vu celui-ci lui apparaître et faire tomber sur son lit une pluie de roses, signe de la grâce de la guérison qu'il allait recevoir. Après le repas, dans la pièce qui jouxtait le réfectoire, Thérèse, le coude appuyé sur un meuble, déclara très sérieusement à sa marraine : « Moi aussi, après ma mort, je ferai pleuvoir des roses. »
Madame Joelle Dalle a préféré représenter sainte Thérèse de Lisieux enfant plutôt qu'en religieuse carmélite. D'une part c'est une manière de rappeler l'enfance spirituelle et d'autre part, comme les icônes religieuses réalisées par madame Joelle Dalle sont pour les enfants, c'est une représentation plus appropriée pour ce jeune âge.

Voir l'intégralité des oeuvres de l'artiste Joelle DALLE

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L'IC_6030 est munie au dos d'un trou, pour pouvoir être fixée au mur. Ce trou est cranté pour faciliter son centrage. Vous pouvez aussi l'exposer sur un chevalet.

Pour le format G6030 voir le chevalet IKNG27

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