Icône de Sainte Anne et Marie en prière

Description Icône de Sainte Anne et Marie en prière

Cette icône religieuse représente Sainte Anne avec sa fille, Marie, la future Mère de Jésus. Les Evangiles ne nous parlent pas de sainte Anne, mais c'est par le protévangile de Jacques que nous connaissons certains détails de la vie des parents de la sainte Vierge et entre autre leur nom : Anne et Joachim.
Les différentes oeuvres d'arts, tableaux, statues, icônes, consacrées à sainte Anne la représentent généralement avec Marie enfant, car toute la dignité et sainteté de sainte Anne proviennent de la mission confiée à elle par la divine providence, à savoir celle d'être la mère de Marie, l'Immaculée conception et de s'occuper de son éducation. En raison de cela sainte Anne est considérée comme la sainte patronne des mères de famille puisqu'elle a eu en charge d'éduquer Marie qui n'a jamais commis de péché et qui est la plus sainte des créatures. Compte tenu de l'importance de l'éducation, il est normal de considérer la sainteté de Marie comme une conséquence, au moins en partie, de l'éducation donnée par sainte Anne. D'ailleurs, sur cette icône de sainte Anne, Marie est à l'écoute de sa mère qui lui donne un enseignement. La main dirigée vers le Ciel, geste accentué par le doigt bien vertical, symbolise un enseignement avant tout religieux dispensé par sainte Anne à sa fille. La mère doit être la première catéchiste de son enfant et doit lui parler du Ciel qui est notre vraie patrie et notre destinée.

Les reliques de sainte Anne ont été conservées et se trouvent actuellement en France dans la ville d'Apt. Toutes les reliques qui se trouvent dans d'autres églises proviennent de cette ville du sud de la France.
Les reliques de sainte Anne sont arrivées en France au premier siècle avec saint Lazare ou des amis de ce grand saint. Elles furent confiées à saint Auspice premier évêque d'Apt. Mais en raison des persécutions cet évêque cacha les précieuses reliques de sainte Anne dans une sorte d'armoire pratiquée dans le mur de la crypte la plus basse. L'évêque mura soigneusement la crypte de la manière à la rendre impénétrable. Les personnes qui connaissaient le secret moururent l'une à près l'autre si bien que la crypte resta inconnue pendant sept siècle. C'est en 792, grâce à un miracle éclatant que la crypte fut découverte en la présence de Charlemagne. Quand la crypte inférieure fut ouverte, les assistants purent voir une lampe ardente placée devant une sorte d'armoire murée. Le jeune homme sourd, muet et aveugle de naissance qui guidait le roi, le clergé et toutes les personnes présentes s'écria :"dans cette ouverture est le corps de sainte Anne, mère de la très Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu". Le roi ordonna d'ouvrir la niche. Aussitôt une odeur semblable à celle du baume se répand et le dépôt sacré apparait renfermé dans une caisse de cyprès et certifié par cette inscription : "ici est le corps de la bienheureuse Anne, mère de la Vierge Marie." Charlemagne ordonna de faire consigner dans des écrits le récit de tous ces faits. De cette manière nous avons la certitude de l'authenticité des reliques de sainte Anne qui ont traversé la révolution française sans dommage.

- la fixer au mur à l'aide d'un trou aménagé au dos de l'icône ; ce trou, visible sur les images à 2 cm du haut, est cranté pour faciliter son centrage;
- la disposer sur une surface plane, à l'aide du système décrit en image ; l'icône est livrée avec la baguette de bois;
- utiliser un chevalet d'exposition vendu séparément et disponible suivant les indications ci-dessous:

Pour le format G8008DF voir le chevalet IKNG27

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