• Notre-Dame de la Salette
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Notre-Dame de la Salette

Triptyque Notre-Dame de la Salette

  • TRT131

53,00 € TTC

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Panneau central : Notre-Dame de la Salette - Panneaux latéraux : motif floral

Description Triptyque Notre-Dame de la Salette

La Salette est une petit village de l'Isère où la sainte Vierge est apparue le 19 septembre 1846 à deux enfants Mélanie Calvat, âgée de 15 ans, et Maximin Giraud âgé de 11 ans.
Voici comment, Maximin Giraud décrit l'apparition dans une lettre adressée à sa mère adoptive en 1865 :
"Jamais nous n'avions vu des rayons multicolores jaillir d'une dame de feu, s'épanouir et prendre la forme de roses blanches, rouges et bleues dont elle nous apparaissait le front couronné. Le plus splendide des diadèmes surmontait sa coiffure toute d'or et d'argent, transparente, haute et arrondie au sommet, et légèrement inclinée en avant. De tous côtés s'élevaient de petites fleurs d'or, du milieu desquelles dardaient des flammes. Entre chaque branche de fleurs se trouvait une branche de douze brillants. Ces branches formaient des tiges, des paillettes ou des étoiles. Rien de plus resplendissant.
La coiffure de l'apparition descendait assez pour cacher entièrement les cheveux et les oreilles. Le léger et blanc tissu qui, orné de guirlandes lumineuses, recouvrait sa poitrine et ses épaules, et se nouait par les deux extrémités, en entourant le corps comme d'une ceinture, ce fichu, assez semblable au voile huméral des prêtres à l'autel, et la robe dont elle était revêtue, montaient très haut et cachaient le cou autant que possible, avec un charme de modestie qui n'appartient qu'à nos pauvres, humbles et chastes religieuses.
Sous un scapulaire uni ou tablier, le long duquel coulaient les larmes de l'apparition, et presque de la même couleur que la robe, d'un tissu léger et tout brillant que seule peut faire la main des anges, ressortait une robe étoilée, ayant le chatoiement de mille perles et pierres précieuses, et d'une éclatante blancheur.
Il n'était pas jusqu'à la chaussure immaculée qui ne fût surmontée d'une boucle d'or, comme le sont les souliers des évêques, et qui ne fût ornée aussi de roses incomparables aux couleurs variées, mais plus petites que les roses de la couronne.
Du calice de toutes les fleurs de sa mystérieuse parure sortait une espèce de flamme de lumière et d'or, qui s'élevait comme l'encens et se mêlait à la rayonnante lumière dont elle était environnée.
Une grande chaîne tout étincelante, de la largeur de trois doigts, telle que le galon d'or qui borde la chasuble sacerdotale, descendait le long de la guirlande de roses, taudis qu'à une chaîne plus petite, en forme d'anneaux, pendait un crucifix en or, dont l'extraordinaire éclat se détachait de celui de la croix, et où l'on voyait à droite des tenailles, et à gauche un marteau, qui semblaient ne tenir à rien.
Sa lumière si splendide, dans laquelle l'immaculée Mère de Dieu nous attire et nous tient enveloppés si près d'elle, qu'une personne n'aurait pu passer entre elle et nous, ni ne nous éblouit, ni ne nous fatigue, ni ne nous aveugle, mais nous est au contraire infiniment douce et agréable. Marie le permet ainsi pour nous montrer combien il est doux et agréable d'être ainsi aimé d'elle. Nous, en particulier, petits pâtres si ignorants et si rustres que nous puissions être, combien n'avons-nous pas sujet d'aimer plus que tout la Vierge Marie, qui se fait à notre égard aimable de tant de manières !
Elle est bien aimable de nous être apparue de préférence, sans se laisser voir des quarante autres pâtres qui, étant placés à droite et à gauche du petit ravin, vers la source de la Sézia, à quatre ou cinq cents mètres en amont sur le Gargas, auraient été à portée de voir un personnage d'une extrême singularité, sur un plateau qui n'a jamais produit un seul arbre, pas même de chétifs arbustes."

On pourrait être étonné d'une telle précision 20 ans après l'apparition, mais remarquons qu'un tel événement ne s'oublie pas et peut rester profondément parqué dans la mémoire. De plus Maximin a dû souvent raconté les apparitions ; c'est une manière d'en garder un souvenir.

Fiche technique - Triptyque Notre-Dame de la Salette

  • Référence

    TRT131

  • Nom du produit

    Notre-Dame de la Salette

  • Dimension

    ouvert : 22 cm x 15 cm fermé : 11,5 cm x 15 cm

  • Date

    XIXe s.

  • Fabricant

    Traditions Monastiques (FRANCE)

  • Panneau central

    Statue de Notre-Dame de la Salette

  • Panneaux latéraux

    motif floral

  • Matériau

    bois de chêne

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